|
|
[ AVIATION ]
|
|
|
|
ITA.
30/01/2008 18:50
Escadrilles italiennes
| |
|
|
|
|
|
|
|
Aéro Squadrons des Etats-Unis
30/01/2008 18:51
Aéro Squadrons des Etats-Unis
| |
|
|
|
|
|
|
|
BELGE
30/01/2008 18:53
Escadrilles belges
| |
|
|
|
|
|
|
|
breguet 14a2
31/01/2008 17:59
Les avions Les premiers sont des Salmson 2 A2 et des Bréguet 14 ; pendant la guerre 14-18 ils servaient pour repérer l’emplacement des batteries d’artillerie ennemies. Le plus célèbre est le Bréguet 14 : un biplan, 2 places, en bois, toile de lin; le courrier était disposé à la place de l’observateur (premier vol en 1916) construit en 8 000 exemplaires; masse à vide : 1 240 kg ; très sensible au vent; charge marchande : 300 kg, vitesse de croisière: 125 km/h ; moteur de 300 chevaux. En 1928, Latécoère produit son Laté 28, avion très différent et d’une robustesse légendaire; grand monoplan, en métal léger ; peut emporter 5 tonnes dont 1 tonne de courrier; vitesse : 200 km/h avec des pointes à 240. Après 1930, on utilise des avions d’une facture moderne, le Potez 25 (un trimoteur) surtout des hydravions ; le dernier hydravion construit par Latécoère en 1942 pesait 60 tonnes !
| |
|
|
|
|
|
|
|
L'aéropostale 1920-1940
31/01/2008 18:18
Aérodromes et avions de l’Aéropostale Jusqu’en 1930, on ne dit pas aérodrome mais aéroplace ; c’est à dire un terrain horizontal, une bande gazonnée de 400-500 mètres de long, un modeste hangar, un atelier, des bidons d’essence entassés au soleil, un chef de poste, quelques mécaniciens, 2 ou 3 avions de remplacement. Il faut rendre hommage à ces mécanos exceptionnels pour leur savoir technique, leur abnégation au travail, tous volontaires pour les postes du Sahara ou d’Amérique du Sud ; ils ont construit, puis entretenu la Ligne autant que les pilotes. A Toulouse, l’aérodrome de Montaudran est plus grand avec les principaux bâtiments administratifs ; à côté, les ateliers où l’on construit les Laté ; en ville, l’hôtel du Grand Balcon est le quartier général des pilotes ; à 5 heures du matin ils prennent le tramway qui les conduit au Pont des Demoiselles, la camionnette qui transporte le courrier arrivé de Paris arrive vers 6 heures ; puis c’est le décollage vers l’inconnu. Les phares(5) ont largement facilité la navigation à partir de 1925 ; marchant au néon ils étaient mis en marche par un préposé à la réception d’un télégramme venant de Perpignan, mais on dit, du côté de Baziège, que très souvent le responsable allumait le phare alors que l’avion était passé...
| |
|
|
|
|